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 Tribune des bénévoles et des associations

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(Les articles proposés se doivent de correspondre aux valeurs que défends la Banque Alimentaire.

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"Pauvres de nous" : Bac + 6, il raconte avec force sa vie de chômeur

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En 2018, on estime qu'un Français sur 7 vit sous le seuil de pauvreté, soit avec moins de 1 015 euros par mois. C'est le cas de Sébastien.

Sébastien, 32 ans, bac + 6 et deux masters en poche, est au chômage, tout comme un jeune sur quatre en France. Ayant grandi dans une famille modeste, il a financé lui-même ses études, convaincu qu’elles lui permettraient de décrocher facilement du travail à l’avenir. Une promesse qui se confronte à une sacrée désillusion.

La France pionnière de la lutte contre le gaspillage alimentaire

Deux ans après la promulgation de la loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire – une première mondiale –, le bilan tiré montre des effets très positifs, largement exprimés au cours des États généraux de l’alimentation. Une réglementation ayant prouvé son efficacité, notamment auprès des associations caritatives, et qui devrait bientôt être étendue à d'autres secteurs, tels que la restauration collective et l'industrie agro-alimentaire.

Les Petits Frères des Pauvres : une antenne ouvre dans la ville

Bernard, bénévole à l'association, donne de son temps pour sortir les personnes de leur isolement./ Photo DDM, MPV

Alors que la Fondation l'Abbé Pierre a sorti récemment son rapport annuel sur le mal-logement, se pose la question de l'amélioration des conditions de vie des personnes précaires.

À sa manière, l'association Les Petits Frères des Pauvres participe à cette cause puisqu'elle accompagne des personnes âgées de plus de 50 ans en situation de précarité pour les sortir de l'isolement.

Femmes dans la rue : de plus en plus nombreuses et pourtant invisibles

Les dernières études constatent une hausse du nombre de femmes vivant dans la rue, pourtant elles demeurent trop souvent invisibles. Bady Wong/Flickr, CC BY-NC-ND

Le nombre de personnes sans-domicile est en progression constante, avec presque un doublement entre 2001 et 2012, selon les statistiques de l’Insee et l’Ined. Et 38 % des sans-domicile adultes sont des femmes.

Dans un contexte où les acteurs de terrain, associatifs notamment, soulignent différentes évolutions des personnes à la rue (on parle de féminisation, de familialisation ou encore de rajeunissement de la population), il est intéressant de comprendre comment certaines représentations sur les sans-abri perdurent. Lorsque l’on pense aux personnes à la rue : la majeure partie des évocations sont celles d’hommes isolés, français, visibles dans l’espace public, consommant de l’alcool, entourés de sacs, délaissant le soin de leur corps.